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Le sentier de mes rêves s'enfouit sous les nuages
Ceux que l'on voit parfois un matin de printemps
Quand le ciel aux zébrures d'or ouvre un passage
Au jour encore hagard et mouillé d'occident
Il a tous les parfums du jour que je distille
Il a la voix vêtue d'un gros chat ronronnant
Il a la peau, le souffle qui se trémousse en ville
Le souvenir très haut, au front d'un cerf-volant
Echeveau de la vie
Je me sens toujours...
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