20 mai 2015
GRANDES VILLES
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les mêmes visages éphémères
La même nuit où les murailles se sont tues
Avec le frisson des forêts
Près de la ligne comète
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Les mêmes mains
Corollées d'opales à l'orée du corail
Comme des chevelures dans l'univers diffus
Cependant, dans la pénombre,
Des silhouettes se glissent sous des draps rudes
Ils ignorent ce que l'aube rédige
Au mépris des échos
Qui jaillissent sans cesse
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